Un nouvel ordre Mondial

Bon dieu, bon dieu….ce que 45 ans de lavage de cerveau nous ont crée… (Un Mohamed !!)

Le mec est convaincu que l’ONU sert a quelque chose d’autre que de permettre aux mendiants d’exprimer leur frustration et ignore que ce qui compte à la fin c’est le conseil de sécurité qui leur donne un ballon de foot et leur dit d’aller jouer dans la cour pendant qu’ils décident la destinée du monde. Il fut un temps ou même Reagan songea à retirer l’oxygène (le flouss) a l’ONU et renvoyer les mendiants chez eux, parce qu’il s’est aperçu que ce forum (l’ONU) était devenu un souk.

Changer l’ordre mondial ?!?………depuis que le monde existe, c’est la tribu la plus forte qui dicte l’agenda et les tribus moins fortes n’ont pas intérêt a la défier. Même la France, 4iéme puissance mondiale n’ose pas s’aventurer a confronter cet ordre naturel (Alors imaginez, une nation h’zika Africaine sans eau courante en train de le faire). Et cet ordre existe à toutes les échelles, même a notre échelle locale et dans nos sociétés tribales Maghrébines + Sahraouies. Le cancre écervelé (avec un couteau rouillé dans sa poche) ne peut pas dicter aux premiers de la classe ce qu’il faut faire. Exemple ? SH. Certains disent que la décennie noire Algérienne de 90 fut programmée par l’occident qui voyait les fanfaronnades de l’Algérie, d’un mauvais œil. Tout comme Kadhafi, qu’ils ont étranglé et réduit au silence et a l’isolement durant 15ans après lui avoir déposé une bombinette dans sa kilota a partir de 30000 pieds d’altitude ! Ou de Mugabé qui achète aujourd’hui une flutte de pain avec $3milliards Zimbabwéens (je vous jure que c’est vrai, $3milliards !!).

La différence entre l’Algérie, le Maroc et la Tunisie, c’est que ces derniers ne pétent pas plus haut que leur tez. Aussi simple que ça, et MV et Hassan II et MVI en sont très conscients en raison de leur éducation, alors que Boum et Boutnirv’za ont grandit dans un taudis sans eau courante, et se sont retrouvés subitement catapultés ( a l’aide du couteau rouillé) a la tête d’une nation au lieu de continuer à vendre des cacahuètes a Oujda.

« Dis donc toi, t’es venu mettre de l’ordre en Egypte? ». Cette phrase que nos mères (Tlemcéniénnes) nous disaient durant notre enfance, pour nous apprendre l’humilité et nous remettre à notre place quand on fourrait le nez dans des affaires ne nous concernant pas, a beaucoup de sagesse, 5000 ans ou plus de sagesse. Plus tard quand j’ai grandi je lui ai demandé de me l’expliquer :

Elle me disait que dans le lingo Arabe, cette phrase est une très ancienne expression carried over centuries par les mères arabes pour remettre à sa place un enfant blanc bec gringalet qui se précipite à offrir son opinion sur un problème complexe du domaine des adultes et qui veut réorganiser un ordre au-delà de ses capacités alors qu’il est lui-même encore handicapé, fauché et incapable de se suffire à lui-même. Cette expression a ses origines dans la perception qu’au sein de la famille des nations arabes, l’Egypte a été perçue, toujours en guerre, ingouvernable depuis la nuit des temps, avec un passé tumultueux et tellement chaotique (comme l'Irak, l’Algérie, Libye, Polisario, etc ) que tous ceux qui ont essayé à travers les siècles de la gouverner ou d’y mettre de l’ordre se sont cassé la gueule ou se sont fait assassiner, d’où l’expression « « Dis donc toi, t’es venu mettre de l’ordre en Egypte? ».

Avant d’exiger un nouvel ordre Mondial + réarranger la carte géographique du Maghreb (c a d y ajouter une RASD), Bouh’zika (et son bouhiouf Boum) les kzé-kzas, auraient dû demander l’avis de ma mère car elle est plus diplomate que lui.

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A Zahir.


L'Algérie, mon cher Zohir n'est pas comme tu le penses. L'Algérie notre pays est un pays prestigieux . Ce pays a une histoire millénaire et des positions courageuses. Elle a toujours été à l'avant garde des grands défis du monde.
L'Algérie n'est pas comme la Libye. Kadafi c'est l'Algérie qui l'a placé en remplacement au roi Idris qui a mème des liens avec notre ville de Mostaganem ( l'Algérie n'aime pas les rois, ils n'ont aucun principe, pourvu qu'ils règnent).
L'Algérie a occupé l'Espagne pendant huit siècles . Elle a transmis à ce pays le savoir de l'l'époque, comme l'attestent les mots arabes qui fourmillent actuellement dans la langue de Servantes. ( ce dernier auteur n'avait il pas conçu son livre "Don Quichote" à Alger mème, lorsqu'il était captif d'Alger ?
L'Algérie a permis à la Fontaine de traduire ses fables de "Kalila et Dimna" d'Ibn El Moquafaa.
L'Algérie était à l'origine de la découverte du nouveau monde par espagnols interposés car elle leur a fourni les moyens scientifiques de le faire (Boussole, cartes géographiques...)
L'Algérie était une puissance maritime qui imposait le paiement d'une "fidia" à tous ceux qui empruntaient la voie maritime dans le mer méditérrannée.
L'Algérie mon ami a façonné la langue française jusque dans ses entrailles gramaticales ( mots structurants), jugeons-en:
"Alphabet": Alif-Ba-ta . l'article "le": El espagnol retourné qui vient de l'arabe Al. "Ou" ( conj coord): Aou.
"Comme": Kama. "Combien ?": Kam ? "Sous": SouA. "De" ( article) : Dhou .
Ceci sans compter les milliers de mots léxicaux dont la langue française et espagnole en sont truffées:

Marcher : Macha- Baiser: Bassa- Casser : Casser- gagner: Ghania- corne: quarn- course : quarsana-
gazelle: ghizelle- giraffe : zaraffa- chat : kit- Limonade : Limoune - Ingénieur(génie) Djinn etc...etc.. Je pourrais vous en citer des milliers de mots de cette sorte.

L'Algérie mon ami, aidait les pays européens a vaincre la famine en leur founissant blés et argent aux siecles de disette.
L'Algérie a vaincu la 4 eme puissance mondiale la France en guerre sur le terrain des opérations. avec rien , presque les mains nues au départ.
L'Algérie était la bète noire des pays colonisateurs du monde. ( mème les super-puissances ! )
L'Algérie était le leader des pays du Tiers-Monde, des non-alignés et de l'Afrique.
L'Algérie a beaucoup d'amis dans le monde. Elle respecte tous les pays y compris ses ennemis. Elle est avec le droit international. Elle n'a jamais utilisé sa force avec les faibles. Elle a toujours compter sur ses propres capacités. Elle n'a jamais utilisé des " fonfaronades ".
Grace à l'Algérie , beaucoup de pays qui étaient en guerre ont pu se serrer la main et vivre en paix.
Grace à l'Algérie beaucoup de pays colonisés, se sont libérés.

n importe quoi;la seul chose que vous ayez c est ce p**** de NIF déplacé qui ne vous sert à rien sinon à vous ridiculiser comme d habitude;votre orgueil vous perdra

Modérateur : éviter les mots vulgaires !!!

Mohamed a écrit:

A Zahir.


L'Algérie, mon cher Zohir n'est pas comme tu le penses. L'Algérie notre pays est un pays prestigieux . Ce pays a une histoire millénaire et des positions courageuses. Elle a toujours été à l'avant garde des grands défis du monde.
L'Algérie n'est pas comme la Libye. Kadafi c'est l'Algérie qui l'a placé en remplacement au roi Idris qui a mème des liens avec notre ville de Mostaganem ( l'Algérie n'aime pas les rois, ils n'ont aucun principe, pourvu qu'ils règnent).
L'Algérie a occupé l'Espagne pendant huit siècles . Elle a transmis à ce pays le savoir de l'l'époque, comme l'attestent les mots arabes qui fourmillent actuellement dans la langue de Servantes. ( ce dernier auteur n'avait il pas conçu son livre "Don Quichote" à Alger mème, lorsqu'il était captif d'Alger ?
L'Algérie a permis à la Fontaine de traduire ses fables de "Kalila et Dimna" d'Ibn El Moquafaa.
L'Algérie était à l'origine de la découverte du nouveau monde par espagnols interposés car elle leur a fourni les moyens scientifiques de le faire (Boussole, cartes géographiques...)
L'Algérie était une puissance maritime qui imposait le paiement d'une "fidia" à tous ceux qui empruntaient la voie maritime dans le mer méditérrannée.
L'Algérie mon ami a façonné la langue française jusque dans ses entrailles gramaticales ( mots structurants), jugeons-en:
"Alphabet": Alif-Ba-ta . l'article "le": El espagnol retourné qui vient de l'arabe Al. "Ou" ( conj coord): Aou.
"Comme": Kama. "Combien ?": Kam ? "Sous": SouA. "De" ( article) : Dhou .
Ceci sans compter les milliers de mots léxicaux dont la langue française et espagnole en sont truffées:

Marcher : Macha- Baiser: Bassa- Casser : Casser- gagner: Ghania- corne: quarn- course : quarsana-
gazelle: ghizelle- giraffe : zaraffa- chat : kit- Limonade : Limoune - Ingénieur(génie) Djinn etc...etc.. Je pourrais vous en citer des milliers de mots de cette sorte.

L'Algérie mon ami, aidait les pays européens a vaincre la famine en leur founissant blés et argent aux siecles de disette.
L'Algérie a vaincu la 4 eme puissance mondiale la France en guerre sur le terrain des opérations. avec rien , presque les mains nues au départ.
L'Algérie était la bète noire des pays colonisateurs du monde. ( mème les super-puissances ! )
L'Algérie était le leader des pays du Tiers-Monde, des non-alignés et de l'Afrique.
L'Algérie a beaucoup d'amis dans le monde. Elle respecte tous les pays y compris ses ennemis. Elle est avec le droit international. Elle n'a jamais utilisé sa force avec les faibles. Elle a toujours compter sur ses propres capacités. Elle n'a jamais utilisé des " fonfaronades ".
Grace à l'Algérie , beaucoup de pays qui étaient en guerre ont pu se serrer la main et vivre en paix.
Grace à l'Algérie beaucoup de pays colonisés, se sont libérés.

SIDI SI mohamed?:.
Tu descends du ciel ou d'une autre planete qui n'a rien à voire avec le ciel.
Nous souhaitons bien que nos freres algeriens profitent de toutes ces qualités que tu attribus à l'algerie.
MAIS LA VERITE, combien paye l'algerien:
- son kg de viande, son kg de foie ou de coeur, sa baguette ou galette de pain, son kg de pomme de terre, le piment vert, ses tomates, son poulet et................, et surtout son LITRE D'ESSENCE ET DE GAZOIL ET SA BOUTEILLE DE GAZ sachant qu'il grand producteur de petrole.
Veux tu comparer ces prix à ceux du maroc pour prouver et verifier ce que tu nous a fait savoir par ton message

L’Algérie « Pauvre à Milliards »

Vu de l’étranger, c’est un mystère ; de plus près, cela ressemble à une farce et, pour ceux qui vivent l’Algérie, c’est une tragédie. La question est : comment un pays assis sur un baril de pétrole qui lui assure 22 milliards de dollars de recettes par an peut-il laisser son peuple vivre aussi mal, dans la pauvreté ?

La réponse, officieuse, de l’Etat est absurde : il faut « garder de l’argent pour les années de vaches maigres.. » ! Résultat, le pouvoir est assis sur une réserve de trésorerie de trente trois milliards de dollars, - qui dit mieux dans la région ?- et le chômage atteint trente pour cent, la pauvreté a augmenté de six points sur l’échelle de Richter du séisme social, les équipements des collectivités locales sont catastrophiques, cinq cent mille jeunes sont exclus du secteur scolaire et il faut, en entrant à l’hôpital, apporter sa seringue et sa couverture ! Quant à la crise du logement, elle prend des allures de pandémie.

Avec un salaire de soixante euros, un professeur confirmé ne peut pas trouver un logement, denrée rare, chère et férocement disputée. Du coup, on vit à douze dans une pièce, avec cinq enfants salariés, de vingt et un à trente ans, un aîné qui ne se marie pas, faute d’appartement, un benjamin qui dort l’été sur le balcon et l’hiver sur le seuil de la porte. Riche, on vous dit ! D’ailleurs, on a les moyens de construire à Alger un grand métro souterrain, qu’on appelle ici le « métro fantôme » et dont on peut visiter le chantier bloqué depuis quinze ans.

Pourtant, on s’efforce de construire, essentiellement grâce au privé. Des emplois dans le bâtiment ? Oui, vingt-deux mille ! Ce n’est pas rien. Mais ils sont confiés à vingt-deux mille Chinois qui assurent les grands travaux, les tunnels autoroutiers et les immeubles. Avec eux, le mètre carré est plus cher mais plus rapide. « L’Algérie ne crée pas son développement, elle l’achète en urgence » dit un économiste. Et acheter ici, c’est importer. Voitures, équipements électriques, textiles, médicaments, parfois même légumes, tout s’importe, - sauf le pétrole bien sûr !- tout arrive d’Asie, d’Europe ou du Moyen-Orient, dans de mystérieux containers dont on retrouve le contenu sur les marchés, noirs évidemment, surnommés ici les « Souks Dubaï ». Economie informelle, activité de « trabendo » où les intermédiaires importateurs s’engraissent, où les petits vendeurs luttent pour gagner leur vie au jour le jour. Sans impôts, sans taxes, sans contrôle.

Côté secteur public, rien ne bouge, comme une économie post-socialiste qui ne se résigne pas à passer à l’économie de marché. La Bourse d’Alger ? Superbe ! Sauf qu’elle fonctionne une heure par semaine pour quatre titres. Bourse fantôme, usines fantômes, produits fantomatiques. Regardez ces entreprises publiques de textiles, bien équipées de belles machines qui ne tournent qu’à vingt pour cent de leurs capacités, produisent des tissus rêches, importables parce qu’on a commandé en bloc de l’adoucisseur pour dix ans et qu’il n’adoucit plus rien depuis longtemps.

Ecoutez ce directeur d’unité qui, pour obtenir un voyage d’affaires en urgence, doit remplir de longs formulaires et répondre à mille questions pour obtenir un billet d’avion qui arrive toujours trop tard. Ici, seul l’immobilité paie. Surtout ne rien faire ! Sinon perpétuer son poste qui consiste à gérer l’immobilisme et à séduire la hiérarchie politique. Et quand un inspecteur des douanes se met en tête, - le fou ! – de vouloir faire son métier, quand il débusque en 1992 « l’affaire des quinze », une fraude à grande échelle impliquant de hauts responsables, on retrouve, douze ans plus tard, un dossier gelé, des charges oubliées, sauf celles contre… l’inspecteur, harassé par la justice, obligé de s’exiler un temps, cassé, brisé, amer et qui met, face à la caméra, son doigt sur la bouche en confiant : « pardon ! mais j’ai des enfants. »

La corruption, ici, est consubstantielle au système. Les bakchichs, les passe-droits, la taxe qu’on ne paie pas, le container supplémentaires qu’on oublie de compter, tout se joue dans l’obscurité, en dehors des circuits officiels. Résultat : les uns étalent sans vergogne leur nouvelle richesse ; les autres ruminent leur pauvreté. « Pauvre à milliards »…oui, c’est un bon titre de documentaire. Et un excellent travail de reportage. Qui décrypte l’Algérie et ses maux. Face à la « Hogra », l’injustice, le mépris, ne restent que les émeutes qui soulèvent quasi quotidiennement un coin ou l’autre de cette Algérie perpétuellement furieuse. De quoi rêvent les Algériens ? D’abord d’un visa. Pour tenter leur chance ailleurs. Et pour les plus forts, ceux qui croient toujours au changement, d’une classe politique qui accepterait de ne plus gouverner assise sur ses milliards pour enfin, partager quelques gouttes d’or noir. Un pouvoir qui ferait des réformes au lieu de se contenter d’en parler.

Comme dans la Mitidja, plaine agricole ravagée pendant dix ans par le terrorisme, arrosée abondamment pendant deux ans grâce au ciel et où l’on entend, ému, des agriculteurs vous assurer, - à condition qu’on accepte de leur vendre les terres qu’ils travaillent-, qu’ils sont prêts à affronter le marché, tous les marchés, de la Méditerranée à l’Europe. En un mot, retrouver leur dignité.
Réponse avec citation

Réponse à Kalimati

Bravo pour les informations concernant mon pays l'Algérie. Il vous reste un tout peit peu pour devenir "algérianologue".
Néanmoins vos chiffres sont dépassés par les évènements.
Le montant des réserves de change, au moment où je vous parle s'élèvent à 160 millierds de dollars US sans compter les réserves d'or. De ces 160 millierds, 42 millards sont placés comme "fonds de souveraineté" aux Etats Unis d'Amérique et qui rapportent des bénéfices modestes mais sûrs.
Je ne vous cache pas que l'Algérie a connu dans les années 90 des "vaches maigres" avec une dette extérieure qui dépassait les 30 milliards de dollars US et dont les intérets avoisinaient les 40 %, au moment où les caisses de l'Etat étaient vides . La Banque Mondiale a imposé à l'Algérie un rééchelonnement qui comportait des conditions de réformes draconniennes. Pour illustrer mes propos, je vais vous raconter une petite anecdote:
A cette époque, l'Algérie était gouvernée par "Sid-Ahmed Ghozali". Les caisses de l'Etat étaient vides et on s'apprétaient à faire le vote par l'APN ( parlement algérien) de la loi des finances . On était à minuit et la loi n'avait pas encore été votée par manque d'argent. A minuit et quart , le ministre algérien des affaires extérieures fit irruption dans l'esplanade de l'APN , tout ému et tenant bien haut un chèque de 200 millions de dollards , don de la soeur Libye à l'Etat algérien. Tout le monde était devenu subitement trés content et on procéda au vote de la loi des finances dans la bonne humeur et les plaisanteries.
Ca, c'était le passé. Aujoud'hui, les réserves de change ont atteint le montant cité plus haut (160 milliards de dollars US et la dette extérieure a été payée par "anticipation" en totalité c'est à dire en payant les intérets cash y afférants.
M. Kalimati pourquoi , tu t'appuies sur des chiffres faux ? Savez vous que pour cette année l'Algérie connait une production record en pomme de terre au point où les prix ont baissé jusqu'à 3 maleureux dinars le kg ? La pmme (fruit api) également au point où elle est donnée aux animaux à cause de la mévente pour abondance de production . Il en est de mème pour les autres denrées ( courgette, piment poivron, aubergine , carotte , oignon, ail, salade, etc.)
Il est vrai que l'Algérie connait des déficits en lait en poudre , céréales, viandes rouges , matières 1eres pour les huiles etc. Mais où est le problème, puisque ces produits sont disponibles sur le marché international. Et n'oublions pas par ailleurs qu'elle a atteint son autosuffisance en viandes blanches (poulets, oeufs), miel olive et huile d'olive , orange datte et que pour les produits déficitaires, elle arrive à produire 50 % des besoins de sa population qui est de 36 millions d'habitants (dernier recensement 2008) ?
L'Algérie est suivant l'avis des opérateurs économiques qui ne cessent de déferler à travers le pays , un véritable "El dorado" où presque toput réussit .
En effet l'Algérie est l'un des pays les plus riches du monde grace à ses richesses naturelles dont le bon dieu l'a comblée. Jugeons en :
- Du gaz naturel dont l'exploitation durera 3 siècles
- Du minerai de fer de Ghar-Djebilet qui durera 2 siècles
- Du marbre de qualité supérieure qui durera des siècles également
- L'eau qui se trouve sous le sahara en poches albiennes sera suffisant pour mettre en valeur le désert pendant plusieurs siècles . ( l'origine de cette eau provient des montagnes du kokaze en passant sous le mer méditérannée).
- 1.200 km de bord de mer propice au tourisme et à la pèche du thon,grace à un couloir unique au monde. Son quota de thon , l'Algérie le loue au Japon, mieux doté qu'elle de navires usines .
-2.400.000 km2 de surface soit quatre fois la France, cinq fois le Maroc "reconnu internationalement" et vingt fois la Tunisie.
- Un " Tassili" classé patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco où sur des millers de km2 on trouve à mème le sol, des restes de l'homme préhistorique.
- Des vestiges de l'époque romaine par villes entières( Djamila, Timgad, Tipaza, Cherchell, Tigzirt et j'en passe).
- Des minerais de phosphates, de mercure, de fer (Ouenza) , d'uranieum et d'or exploitables.
M. Kalimati, ne croyez pas à tout ce qu'on vous dit d'informations non vérifiées sur l'Algérie . Car l'Algérie est depuis 1989 , un pays pluriel , où l'opposition essaie par tous les moyens de discréditer le gouvernement en place et c'est de bonne guerre . C'est ça la démocratie. A bientôt !

T'a raison Mohammed, c'est pourquoi le monde se bascule en algérie ! Oups non désoler personne ne viens

Et t'a oublier : Attentas meurtrier chaque jour (Paix aux âmes des victimes, mais l'image de l'Algérie est complètement salit aux yeux du monde entier)


Pour te sortir de ton rêve Mohamed:

Citation :

L’Algérie « Pauvre à Milliards »

Vu de l’étranger, c’est un mystère ; de plus près, cela ressemble à une farce et, pour ceux qui vivent l’Algérie, c’est une tragédie. La question est : comment un pays assis sur un baril de pétrole qui lui assure 22 milliards de dollars de recettes par an peut-il laisser son peuple vivre aussi mal, dans la pauvreté ?

La réponse, officieuse, de l’Etat est absurde : il faut « garder de l’argent pour les années de vaches maigres.. » ! Résultat, le pouvoir est assis sur une réserve de trésorerie de trente trois milliards de dollars, - qui dit mieux dans la région ?- et le chômage atteint trente pour cent, la pauvreté a augmenté de six points sur l’échelle de Richter du séisme social, les équipements des collectivités locales sont catastrophiques, cinq cent mille jeunes sont exclus du secteur scolaire et il faut, en entrant à l’hôpital, apporter sa seringue et sa couverture ! Quant à la crise du logement, elle prend des allures de pandémie.

Avec un salaire de soixante euros, un professeur confirmé ne peut pas trouver un logement, denrée rare, chère et férocement disputée. Du coup, on vit à douze dans une pièce, avec cinq enfants salariés, de vingt et un à trente ans, un aîné qui ne se marie pas, faute d’appartement, un benjamin qui dort l’été sur le balcon et l’hiver sur le seuil de la porte. Riche, on vous dit ! D’ailleurs, on a les moyens de construire à Alger un grand métro souterrain, qu’on appelle ici le « métro fantôme » et dont on peut visiter le chantier bloqué depuis quinze ans.

Pourtant, on s’efforce de construire, essentiellement grâce au privé. Des emplois dans le bâtiment ? Oui, vingt-deux mille ! Ce n’est pas rien. Mais ils sont confiés à vingt-deux mille Chinois qui assurent les grands travaux, les tunnels autoroutiers et les immeubles. Avec eux, le mètre carré est plus cher mais plus rapide. « L’Algérie ne crée pas son développement, elle l’achète en urgence » dit un économiste. Et acheter ici, c’est importer. Voitures, équipements électriques, textiles, médicaments, parfois même légumes, tout s’importe, - sauf le pétrole bien sûr !- tout arrive d’Asie, d’Europe ou du Moyen-Orient, dans de mystérieux containers dont on retrouve le contenu sur les marchés, noirs évidemment, surnommés ici les « Souks Dubaï ». Economie informelle, activité de « trabendo » où les intermédiaires importateurs s’engraissent, où les petits vendeurs luttent pour gagner leur vie au jour le jour. Sans impôts, sans taxes, sans contrôle.

Côté secteur public, rien ne bouge, comme une économie post-socialiste qui ne se résigne pas à passer à l’économie de marché. La Bourse d’Alger ? Superbe ! Sauf qu’elle fonctionne une heure par semaine pour quatre titres. Bourse fantôme, usines fantômes, produits fantomatiques. Regardez ces entreprises publiques de textiles, bien équipées de belles machines qui ne tournent qu’à vingt pour cent de leurs capacités, produisent des tissus rêches, importables parce qu’on a commandé en bloc de l’adoucisseur pour dix ans et qu’il n’adoucit plus rien depuis longtemps.

Ecoutez ce directeur d’unité qui, pour obtenir un voyage d’affaires en urgence, doit remplir de longs formulaires et répondre à mille questions pour obtenir un billet d’avion qui arrive toujours trop tard. Ici, seul l’immobilité paie. Surtout ne rien faire ! Sinon perpétuer son poste qui consiste à gérer l’immobilisme et à séduire la hiérarchie politique. Et quand un inspecteur des douanes se met en tête, - le fou ! – de vouloir faire son métier, quand il débusque en 1992 « l’affaire des quinze », une fraude à grande échelle impliquant de hauts responsables, on retrouve, douze ans plus tard, un dossier gelé, des charges oubliées, sauf celles contre… l’inspecteur, harassé par la justice, obligé de s’exiler un temps, cassé, brisé, amer et qui met, face à la caméra, son doigt sur la bouche en confiant : « pardon ! mais j’ai des enfants. »

La corruption, ici, est consubstantielle au système. Les bakchichs, les passe-droits, la taxe qu’on ne paie pas, le container supplémentaires qu’on oublie de compter, tout se joue dans l’obscurité, en dehors des circuits officiels. Résultat : les uns étalent sans vergogne leur nouvelle richesse ; les autres ruminent leur pauvreté. « Pauvre à milliards »…oui, c’est un bon titre de documentaire. Et un excellent travail de reportage. Qui décrypte l’Algérie et ses maux. Face à la « Hogra », l’injustice, le mépris, ne restent que les émeutes qui soulèvent quasi quotidiennement un coin ou l’autre de cette Algérie perpétuellement furieuse. De quoi rêvent les Algériens ? D’abord d’un visa. Pour tenter leur chance ailleurs. Et pour les plus forts, ceux qui croient toujours au changement, d’une classe politique qui accepterait de ne plus gouverner assise sur ses milliards pour enfin, partager quelques gouttes d’or noir. Un pouvoir qui ferait des réformes au lieu de se contenter d’en parler.

Comme dans la Mitidja, plaine agricole ravagée pendant dix ans par le terrorisme, arrosée abondamment pendant deux ans grâce au ciel et où l’on entend, ému, des agriculteurs vous assurer, - à condition qu’on accepte de leur vendre les terres qu’ils travaillent-, qu’ils sont prêts à affronter le marché, tous les marchés, de la Méditerranée à l’Europe. En un mot, retrouver leur dignité.

tout le monde s'arrache l'algérie, les chinois, les subsahariens, les tunisiens, les marocains, les societés americaines russes italienne espagnoles


bladi nabghiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikkkkk bzzzzzzaf

a lire ldans actualités algérie la preuve irréfutable que le peuple algérien vit bcp mieux que le peuple marocain et que l'IDH algérien est + elevé que l'IDH marocain et l'IPH marocain + elevé que l'IPH algérien

algeriano51 a écrit:

a lire ldans actualités algérie la preuve irréfutable que le peuple algérien vit bcp mieux que le peuple marocain et que l'IDH algérien est + elevé que l'IDH marocain et l'IPH marocain + elevé que l'IPH algérien

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TANT QUE LE DIRHAM EST DIX FOIS PLUS FORT QUE TON DINARD: tais toi pour ne pas dire n'importe quoi.
Dis nous combien tu payes ton kg de viande, tes tomates, le kg de foie , de coeur, ton kg de poulet, ton kg d'amande de noix et les autres denrées alimentaires pour nous prouver que tu vis mieux qu'un marocain.
EN COMPARANT TES PRIX AUX NOTRES: NOUS FAISONS LA CONCLUSION.
Nous attendons ta reponse pour verifier ce que tu as dis.

le dirham est plus fort que le yen japonais ,le dinar est + fort que le yen japonais aussi est ce vraiment important???

1 dirham = 7 dinars je vois pas ce qui te fait jouir


le peuple vit mal et ce tableau de l'ONU montre que le maroc est tjrs mal classé que l'algérie et pas que d'une ou deux places

les recentes emeutes de sidi ifni etaient justement contre la misere et la chereté de la vie mon cher ami

pour ce qui est de l'algérie voici pour toi

Citation :

Comme prévu, la flambée des prix des produits de large consommation en Algérie, en ce début de Ramadan, a été, en fin de compte et fort heureusement, bien éphémère et n’aura duré qu’une semaine ou moins.

Ainsi, au marché, toujours grouillant, de la rue des Aurès, les prix de la pomme de terre, de la tomate, de l’oignon et des poivrons affichés hier dans certains étals, étaient bien en deçà des 40-60 dinars auxquels ils étaient cédés, il y a à peine quatre jours. La dégringolade des prix de ces trois produits est de taille puisque des 30-35 dinars le kilo, la pomme de terre est descendue à 20 dinars, hier matin, alors que le prix de la tomate oscillait entre 25 et 30 dinars pour celle dite de 1er choix. L’oignon est également de la partie puisqu’il était vendu entre 20 et 15 dinars le kilogramme.

Cette accalmie a fait qu’hier, à Oran, les ménagères, angoissées par les rumeurs annonçant que le marché des légumes allait vers de nouveaux records, ont été très agréablement surprises de constater que c’était le contraire qui s’était produit et que le marché s’était considérablement assagi et qu’elles pouvaient faire leur cuisine ramadanesque en toute quiétude et rentrer avec un panier suffisamment bien garni et sans trop grever leurs portefeuilles. Outre la dégringolade des prix de ces trois produits, ceux des courgettes et de la salade verte ont également perdu entre 20 et 25 dinars de leurs prix de la veille et l’avant-veille du mois sacré. Respectivement vendus 70 et 40 dinars, il y a deux jours, la salade était affichée hier à 50 Da alors que les courgettes étaient cédées à 40. Cependant, pour des raisons qui nous échappent, les carottes se maintiennent à 40 dinars le kg. Selon de nombreuses sources, dans les jours qui viennent, le marché se stabilisera et il n’est pas interdit de spéculer que les prix actuels connaîtront d’autres baisses, à la grande satisfaction des consommateurs.

A souligner qu’a une semaine du mois de ramadan, les fruits et légumes ont connu une grande flambée des prix, et ce, en dépit des 2,5 milliards de dollars dégagés par le gouvernement pour la subvention des prix des aliments à large consommation. A titre d’exemple, les haricots verts et certains légumes de saison, ont été affectés par une hausse spectaculaire. Les viandes rouges et blanches n’ont pas échappé à cette flambée. En effet, le prix de l’agneau est passé de 580 Da le kilo à 650 Da tandis que le poulet est monté de 220 Da le kilo à 260 Da.

Amel S. — la Voix de L’Oranie

Toi tu ne vis pas au bled ,tu dois étre tranquillement installé dans ta cité en FRANCE;va dire sa à l algérien moyen;méme en france on se plaint de l inflation et voila que mr algerino se fait le porte parole economique :En ALGIRI TOUT EST PAS CHIR tout le mounde ili content de bien mongi:TU TE FOU DE QUI c est un phénméne mondial

algeriano51 a écrit:

tout le monde s'arrache l'algérie, les chinois, les subsahariens, les tunisiens, les marocains, les societés americaines russes italienne espagnoles


bladi nabghiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiikkkkk bzzzzzzaf

tu veux dire tout le monde pillent les richesses de ton pays(gaz petrol) avec l aide des généraux au détriment de la population algérienne YALBGHAL

tu c tout toi dis donc tu contredis meme un journaliste , pourquoi tu devient pas journaliste chez la MAPtoi aussi??

pr ton info je viens bien en algerie et je suis bien la ou je suis

j'aime mon pays avec ses defauts , les legume coutaient extremement cher, je critique mn pays et la politique du gouvernement mais entre nous jamais devant des rocs

et si je parle ainsi c que j'arrive pas a comprendre comment un pays aussi pourri et miserable que le maroc se mele de l'algérie

les etrangers pillent l'algérie?? mais jamais de la vie jamais au grand jamais de la vie c une idiotie de premiere classe que tu nous sort la

L ALGERIE avec les richesses qu elle détient devrait étre un pays identique a celui des émirats,mais malhereusement on en est trés loin:comment expliquer la fuite de la manne petroliére,qui en profite?LES GENERAUX ET QUELQUES PRIVILEGIES.et l ALGERIEN MOYEN RIEN WALLOU NADA/SI DES HARRAGAS QUI FUIENT L ELDORADO ALGERIEN

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Enfin une enquête sur « la tragédie des enfants du port de Tanger ». Ces laissés pour compte qui rêvent de « brûler », au risque de leur vie, les 13 Km qui séparent Tanger de « l’eldorado » européen. Synthèse.
Le nombre approximatif des enfants « harraga » à Tanger varie entre 150 et 300, selon les périodes de l’année avec un record durant la saison estivale. Leur « jeu » consiste à réussir à tromper la vigilance des agents de sécurité et pénétrer dans l’enceinte portuaire. Leur espoir est de pouvoir se glisser sous les essieux des camions et autocars en partance pour l’Europe. Cette terre qu’ils voient comme l’eldorado dont ils rêvent tant. Un rêve pour lequel ils vivent des situations, pour le moins, inhumaines. A commencer par la pénible attente de la « bonne opportunité ». Attente qui peut durer jusqu’à plus de quatre ans. C’est ce qui fait qu’un petit qui a aujourd’hui 12 ans, peut se retrouver encore à 16 ne faisant qu’attendre de passer à l’autre bord de la Méditerranée.

Selon l’enquête de l’Unicef, qui a été réalisée entre octobre 2007 et avril 2008, en collaboration avec l’Institut national de l’action sociale, 8% des mineurs « harraga » survivent aux alentours du port de Tanger depuis plus de 4 ans, 27% y séjournent depuis plus d’une année. Selon les témoignages de ces malheureux qui ont eu à raconter maintes fois leur calvaire aux équipes des télévisions occidentales, ils n’ont qu’une « idée fixe », celle de « tenter leur chance » eux aussi. Dans la plupart des cas, cette idée est directement liée aux « expériences d’émigration réussies » de proches parents : frères, oncles, cousins... Les cas d’échec et les risques dramatiques de leur dessein ne semblent même pas leur traverser l’esprit.

L’enquête vise à « combler le manque en informations sur la situation des mineurs vivant dans un contexte d’extrême vulnérabilité au port de Tanger ». Elle établit un diagnostic des facteurs qui motivent et expliquent cette décision d’émigrer malgré tous les risques et périls auxquels peuvent être confrontés les candidats mineurs à l’émigration clandestine. Ces derniers sont âgés entre 13 et 16 ans. Malgré cela, ils semblent avoir déjà « des idées toutes faites sur l’expérience de la vie », note un assistant social qui passe son temps à dissuader ces « petits désespérés qui n’ont plus rien dans la tête que l’idée d’effectuer ce voyage périlleux sous les essieux des camions et autocars en partance pour l’Espagne ». « Ils n’ont peur de rien... même pas de la mort. Ils doivent être profondément désespérés », note avec stupéfaction un transporteur international français qui a l’habitude d’assister aux courses poursuites entre ces jeunes « harraga » et les agents de sécurité en service au port de Tanger.

Précarité inqualifiable

Les « brûleurs du Détroit » n’étaient pas des SDF (sans domicile fixe) dans leurs milieux d’origine. Seuls 8% d’entre eux n’ont jamais été scolarisés. La majorité a déjà fait une première expérience de travail après avoir abandonné l’école, en sixième année de l’enseignement fondamental pour la plus grande partie et ce, pour différentes raisons : maltraitante, manque de motivation, manque de moyens financiers... Selon l’enquête : ils vivent dans la rue pour pouvoir émigrer et quand ils ne supportent plus la précarité de leur situation, qui s’avère plus dure qu’ils n’imaginaient, ces candidats à l’émigration clandestine consomment de l’alcool, sniffent des dissolvants afin de se sentir mieux ». L’enquête décrit les nombreuses souffrances de ces enfants qui font l’objet d’agressions physiques et morales quotidiennes et qui « vivent angoissés, anxieux et ont toujours peur ».

Autres constats tout aussi dramatiques : « ces enfants dorment dans la rue ou cachés dans les tuyauteries du port et manifestent de sérieux problèmes de santé et de malnutrition », « ils restent pendant des mois sans prendre de douche. Ils ont des teignes et sont infectés par la gale. Ils ont des blessures mal soignées et des infections de la peau »...

Concernant les conditions de départ, l’enquête révèle que les familles de ces enfants sont dans l’écrasante majorité des familles nombreuses (avec une moyenne de cinq enfants). Et dans 40% des cas, l’enquête constate l’absence de l’un des parents : décès du père ou de la mère, divorce ou abandon du foyer par le père notamment.

Les entretiens réalisés avec des familles de ces mineurs permettent de conclure que 30% des parents interviewés approuvent et appuient le « projet » de leurs enfants. Tandis que les 70% restants « qui ne sont pas d’accord », déclarent qu’ils ne peuvent rien faire pour retenir leurs enfants. Affligeant !

Hassan Laghcha
Source: Le Reporter

Citation :

35 clandestins arrêtés à béchar
Ils ont fui la misère du Maroc

http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=70402


Les 35 ressortissants marocains, qui ont réussi à franchir illégalement
la frontière algérienne du Sud-Ouest au niveau de la région de Béchar,
ont été placés avant- hier en détention préventive à la prison de
Béchar.
Ces jeunes Marocains, qui ont fui la misère et la pauvreté dans le pays
du royaume de Mohammed VI, ont été interceptés par les éléments de la
gendarmerie des gardes-frontières près du lieu-dit Boukaïs à 50 km au
nord de la ville de Béchar. Ils ont été présentés au parquet de Béchar.

Le magistrat instructeur a écroué ces ressortissants pour le chef
d’inculpation d’immigration clandestine et d’entrée illégale sur le
territoire algérien. Selon des sources concordantes, ces jeunes
Marocains ont déclaré, lors de leur présentation devant la justice,
qu’ils ont fui, tout simplement les poches de la misère et de la
pauvreté qui sévissent au Maroc. Nos sources ajoutent que ces derniers
n’ont pas trouvé d’autres solutions que de s’introduire illégalement
sur le sol algérien pour s’ y réfugier. “En Algérie, on a des chances
de trouver du travail et de vivre dignement. Là-bas au Maroc, nous
vivons dans la privation”, ont-ils témoigné.
Ce sont des jeunes Marocains dont l’âge oscille entre 18 et 30 ans qui
viennent d’une ville frontalière marocaine où ses habitants ne vivent
que de l’élevage du bétail. “Nous avons opté pour l’Algérie parce que
ce pays voisin est en pleine croissance d’autant que le président
algérien a lancé plusieurs programmes de développement qui créeront de
l’emploi”, ont-ils ajouté.
Ces Marocains sont issus, selon nos sources, d’une région pastorale où
le métier d’éleveur est exercé de père en fils. “Nous n’arrivons plus à
subvenir à nos besoins là-bas, en raison de la sécheresse qui sévit
dans cette région”.
Cependant, il faut noter que les opérations menées par les éléments des
GGF de Béchar ont sensiblement réduit le trafic du bétail puisque ces
Marocains arrêtés vivaient illégalement de cette activité.
“Aujourd’hui, avec la vigilance des GGF, les Marocains qui arrivent à
joindre les deux bouts dans cette région pastorale se comptent sur les
doigts d’une main et les autres pataugent dans la misère”.
À rappeler qu’il y a deux années, pas moins de 52 personnes, issues
d’une même famille répondant au nom de Maâdri de nationalité marocaine,
ont franchi la frontière algérienne du Sud-Ouest pour fuir la pauvreté.
Ces ressortissants étrangers ont été interceptés par les GGF au
lieu-dit Oued Brahim dans la bande frontalière.
Ces derniers ont carrément réclamé leur algérianité du fait que leurs
ancêtres étaient de nationalité algérienne. Ces 52 personnes ont été
prises en charge à l’époque par le Croissant-Rouge algérien qui leur a
fourni des denrées alimentaires et des médicaments.

RACHID ROUKBI

http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=70402