Le Maroc a réussi à transformer une «région désolée en espace d'espoir»
Le Maroc a réussi à relever le défi de transformer une "région désolée", qu'était le Sahara au moment de sa récupération, en "espace d'espoir" grâce aux diverses réalisations économiques, sociales et éducatives accomplies dans cette partie du Royaume, ont souligné vendredi à Rabat des directeurs de publications maliennes.
Lors d'une entrevue avec le ministre de la Communication, porte parole du gouvernement, Khalid Naciri, les journalistes maliens, en visite au Maroc, se sont dits "fortement impressionnés" par le niveau de "développement réalisé au Sahara marocain", saluant par la même occasion les efforts consentis par le Royaume pour assurer le bien-être des populations locales.
Les journalistes maliens ont récemment, visité la ville de Lâayoune où ils ont assisté à l'inauguration de plusieurs projets de développement à l'occasion de la Fête du Trône.
Par ailleurs, ils se sont félicités du climat de transparence qui a marqué les dernières législatives, organisées en septembre 2007 au Maroc.
Pour sa part, M. Naciri a tenu à éclairer les journalistes maliens sur la question du Sahara et les énormes efforts déployés par le Royaume pour le développement de ses provinces du Sud. "Le Maroc a beaucoup consenti en effort, en énergie, en capacité humaine et en moyens matériels pour le développement de ses provinces du Sud", a-t-il souligné.
M. Naciri a saisi cette occasion pour mettre à nu la propagande "méprisable du polisario qui ne trompe plus personne". "Le sens de l'histoire va inexorablement vers l'annulation de cette supercherie qui n'est qu'une séquelle de la guerre froide", a-t-il conclu.
La délégation malienne, arrivée dimanche au Maroc, est composée de Saouti Haidara, directeur du journal "l'Indépendant", Sambi Touré, directeur du journal "Info-matin", Tiégoum Maiga, directeur de "la Nouvelle République", Alexis Kalambry, directeur de publication, Cheickna Sylla, directeur du journal "l'Aube" ainsi que du journaliste Boubacar Koné du journal "le Malien".
Par MAP